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samedi, 26 novembre 2016 00:19

Notre compatriote SEM Abdou Abarry nommé Ambassadeur de l’Union Africaine en République Démocratique du Congo

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Abdou Abarry Desire Kabila Lettres CreanceNotre compatriote SEM Abdou Abarry, a été nommé, en avril 2016, Ambassadeur de l’Union Africaine en République Démocratique du Congo. Il a présenté ses lettres de créance au Président de la République, S.E.M. Joseph Kabila Kabange, le 12 octobre 2016.

Notre pays vient d’enregistrer encore un important succès diplomatique, à travers la décision de la Présidente de la Commission de l’Union Africaine, Madame Nkosazana Dlamini Zuma, de confier à notre compatriote S.E.M. Abdou Abarry, l’importante fonction de Représentant Spécial de la Présidente de la Commission de l’Union Africaine en RDC.

Doctorant en droit de l’Université Libre de Bruxelles (ULB) et diplômé de l’Institut des Relations Internationales du Cameroun (IRIC), S.E.M. Abdou Abarry a occupé d’importantes fonctions au Niger, notamment :

 

Directeur Général chargé des relations bilatérales au ministère des Affaires étrangères,

Directeur général chargé de l’intégration Africaine au ministère de l’Enseignement supérieur, Conseiller à la présidence de la République, chef du protocole d’Etat.

Diplomate de carrière et jouissant d’expériences avérées, SEM Abdou Abarry fut tour à tour :

Conseiller du Niger auprès des Nations-Unis à New York de 1992 à 1997,

Ambassadeur du Niger auprès de la Belgique, des Pays-Bas, du Luxembourg, de la Grèce et de l’Islande.

Représentant permanent du Niger auprès de l’Union Européenne des CIJ, CPJ, de l’OIAC et de l’OMD.

Chef du Bureau de Liaison de l'UA auprès de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à Abuja.

Cette nouvelle nomination est un témoignage et la reconnaissance des talents de nos diplomates tant au plan régional qu’international.

Boubacar Guédé

Amères vérités : S’il y a faute dans la situation du Niger, ceux qui en portent la responsabilité sont chez vous, à côté de vous, pas les autorités françaises qui travaillent pour la France et non pour le Niger

Amères vérités : S’il y a faute dans la situation du Niger, ceux qui en portent la responsabilité sont chez vous, à côté de vous, pas les autorités françaises qui travaillent pour la France et non pour le NigerLes Nigériens sont nombreux à fustiger, à tort ou à raison, le fait que la France ait peint en rouge tout le territoire nigérien, défendant à ses ressortissants et à ceux de l’Union européenne de s’y rendre car dangereux. Sont-ils vraiment sérieux ou c’est plutôt de la comédie ? Au nom d’un prétendu nationalisme ombrageux, ils se défoulent sur la France qu’ils accusent d’être ingrate. N’est-ce pas faire preuve de … que de refuser de voir la poutre qui est plantée dans tes yeux, pour se focaliser sur la brindille qu’il y a dans l’oeil du voisin ? La France est-elle si à plaindre ou à condamner en cherchant à protéger ses ressortissants ? Pourquoi les Nigériens veulent balayer devant la porte de l’ami français en ignorant que la devanture de leur maison est sale, trop sale au point où c’est répugnant ? Pourquoi cherchons-nous à faire endosser la responsabilité de l’insécurité.

Première vérité, la France a fait ce que tout Etat responsable doit faire en pareilles circonstances pour mettre ses enfants à l’abri. Les autorités françaises, il faut le savoir, n’ont pas mandat de travailler pour le Niger et pour les Nigériens, mais pour la France et les pour les Français. Leur préoccupation, c’est la sécurité des Français et accessoirement celle des ressortissants de l’Union européenne.

Deuxième vérité, qui a donné à la France l’autorisation d’installer des bases militaires, en violation flagrante et au mépris de la constitution ? Issoufou Mahamadou n’est-il pas plus à plaindre que la France qui est là, en priorité pour ses intérêts ? Parler, donc, d’ingratitude de la France à qui nous avons permis d’installer des bases militaires sur votre territoire, c’est faire preuve d’hypocrisie notoire en omettant de jeter l’opprobre sur celui qui est à l’origine de cette présence en violation de la loi fondamentale de notre pays. Pourquoi, d’ailleurs, partager cette lourde responsabilité personnelle et exclusive d’Issoufou Mahamadou ?

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Litige foncier Des actes de cession de 2004 contre un arrêté ministériel de 2018

Les litiges, la 7e République en crée tout le temps et c’est toujours l’argent qui les sous-tend. Enquêtant sur le dossier de la vente de l’école Terminus 2, Le Courrier a appris que c’est un premier terrain sis à la périphérie de Niamey, derrière le village de la Francophonie, qui a été ciblé pour un achat en bonne et due forme pour le compte de l’université privée suisse. Un îlot de 22 parcelles totalisant une superficie de 11 000 m2 qui a failli être vendu à l’université privée suisse. Mais son offre a été jugée dérisoire, à croire que cette offre a été formulée après avoir eu l’assurance qu’un terrain leur sera cédé au Terminus. Quoi qu’il en soit, ledit terrain a été clôturé par un agent immobilier qui a brandi un arrêté du ministre de l’Urbanisme lui octroyant ledit terrain dans la perspective de la transaction avec l’université privée suisse. Or, le terrain clôturé objet de l’arrêté du ministre de l’Urbanisme est un îlot de parcelles appartenant à un opérateur économique et quelques bénéficiaires de l’opération « Salaires contre parcelle » de Hama Amadou. Leurs actes de cession sont datés de 2004 alors que l’entrepreneur immobilier qui dit être le légitime propriétaire a un arrêté ministériel daté de 2018. L’entrepreneur immobilier dont l’affaire avec l’université privée suisse a foiré, se dit prêt à dédommager les propriétaires qui l’acceptent, mais il ne cèdera pas un m2 de ce qu’il a clôturé. L’affaire est devant la Haute autorité de lutte contre la corruption et les infractions assimilées (Halcia) qui serait, paraît-il, dans un embarras total, l’entrepreneur immobilier étant trop sûr de lui face à des protagonistes dont un d’entre eux a vu sa parcelle clôturée engloutie dans le périmètre délimité dans les 11 000 m2.
Affaire à suivre.  

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Affaire affection illégale d’un agent à la Douane nationale : Quand la subjectivité prend le pas sur le mérite

 Affaire affection illégale d’un agent à la Douane nationale : Quand la subjectivité prend le pas sur le mériteL’affaire fait grand bruit, depuis quelques temps, à la direction générale des Douanes. Une affaire que d’aucuns qualifient d’illégale, car en violation flagrante des textes qui régissent le Statut Autonome des Agents des Douanes et contraire aux bonnes moeurs de l’administration douanière. Elle est d’autant gravissime qu’elle dénote de l’injustice sociale et surtout non fondée sur le mérite et la compétence. Le 8 juillet 2020, à peine installé à son poste, le nouveau chef de bureau des Douanes de Maradi a été rappelé à l’administration centrale. Une décision surprenante, injuste et injustifiée qui n’a pas d’égale dans l’histoire de la Douane nigérienne. Une situation qui, selon des sources proches du ministère des Finances, a indigné et provoqué la colère du Syndicat national des agents des Douanes. C’est pourquoi, dans une correspondance en date du 21 juillet 2020, adressée au ministre des Finances, le SNAD a exprimé son indignation et sa désapprobation face à une telle mesure dont le caractère injuste est de toute évidence. Aussi, dans sa correspondance, le SNAD rappelle au ministre des Finances les dispositions pertinentes de protection et de droits que confère le statut autonome aux agents des Douanes. Et exige, par ailleurs, du ministre Mamadou Diop de reconsidérer sa décision pour faire rentrer le chef de bureau sortant de Maradi dans ses droits. Aussi, le syndicat des agents des Douanes compte user de tous les moyens légaux pour amener le ministre Mamadou Diop à respecter les textes et éviter de se jeter dans des considérations subjectives qui s’écartent de dispositions légales et toute morale, et qui n’avancent guerre l’administration publique nigérienne. Pour le syndicat, face à des telles dérives, il n’est point question de se résigner. Le risque donc d’un bras de fer entre le SNAD et sa tutelle est grand dans cette affaire qui fait grincer des dents au niveau de la Douane Nationale. Surtout que, selon des sources dignes de foi, la victime est un agent de Douane émérite et constant dans le travail bienfait. Il aurait été toujours félicité et encouragé par ses supérieurs hiérarchiques dont le ministre des Finances lui-même. Selon nos sources, le 17 septembre 2019, le ministre des Finances Mamadou Diop a adressé une lettre de félicitations au chef de bureau de Niamey-Aéroport, qu’il était, suite aux efforts de recouvrement et à sa performance exceptionnelle pour l’atteinte des objectifs assignés à la Douane au titre de l’année 2019. Malgré toute cette performance et assiduité dans l’atteinte des objectifs, l’agent de Douane a été remercié comme un bon à rien. Parce que, dit-on, à la Douane nationale, un baron du régime voudrait le poste de chef de bureau de Maradi pour un affidé. Cela, selon toujours nos sources, pour faire des micmacs et autres affaires personnelles. Apparemment, abusé, le ministre DIOP serait tombé dans ce travers qui ternit son image et celle de la Douane. Pour dire que, dans cette affaire qui fait grand bruit, c’est le mérite qui est malmené au profit de la médiocrité et de l’injustice. Et c’est également l’image de marque du ministre qui est écornée. Lui qu’on aurait fait faire. Si bien sûr, ce n’en est pas son propre jeu. Le doute est permis

Norbert

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Scandale de la vente de l’école Terminus 2 Après les fonds de l’armée, c’est au tour des écoles publiques

Scandale de la vente de l’école Terminus 2 Après les fonds de l’armée, c’est au tour des écoles publiquesAprès les fonds de l’armée destinées à l’acquisition de moyens de défense mais détournés à des fins d’enrichissement partisan et personnel, c’est au tour des écoles publiques de subir l’assaut insatiable de ceux qui ont mis le Niger sous coupe réglée. La vente de l’école Terminus 2 continue de défrayer la chronique. Les Nigériens sont choqués et se demandent bien ce qui n’est pas vendable sous Issoufou Mahamadou. Interrogé à ce propos, un inspecteur de l’Enseignement, ancien syndicaliste et ancien ministre, a indiqué que de mémoire, il n’a jamais connu un tel régime. « Je suis sans mot », avait-il laissé entendre. Vendre une école publique, c’est le comble du scandale. Pourtant, le phénomène, impensable il y a peu, n’a soulevé ni protestations ni condamnations de la part des syndicats de l’éducation ? Pas même le Syndicat des enseignants du Niger (Snen) qui prétend à un leadership dans le secteur. Les parents d’élèves gardent un silence coupable et les acteurs de la société civile jouent aux spectateurs engagés. Tout est si anormalement calme que l’on ne se tromperait pas en disant que l’école est le dernier souci des Nigériens. Aucune réaction des grandes voix qui, habituellement, pour peu que ça, enfourchent les grands chevaux. L’école Terminus 2 est, donc, sacrifiée sur l’autel d’intérêts partisans et mesquins. Et, dans le silence complice de tous ceux qui, par devoir et par responsabilité morale, doivent s’opposer à cette vente scandaleuse, les acheteurs, par bras interposés, s’attèlent à la destruction méthodique des salles de classe. Toutes les fenêtres et les portes sont d’ores et déjà démantelées, prémisses à la destruction des murs.

Des acquéreurs tapis dans la haute sphère de l’Etat et qui agissent au nom de l’Etat pour s’approprier des biens publics par personnes interposées Mais qui, donc, a pu s’offrir l’école Terminus 2, une école publique, un bien de l’Etat ? C’est une université privée suisse. Installée au Niger il y a à peine trois ans (2017), l’université privée suisse en question a réussi le tour de force de s’offrir une école publique dans laquelle on compte des centaines d’enfants, tous niveaux confondus, du Cours d’initiation (CI) au cours moyen, 2e année (CM2). C’est une école dont l’enceinte et les salles de cours ont servi à l’Ecole normale de Niamey à sa création et à certaines administrations publiques, dont une inspection académique et une école de formation professionnelle. Mais l’université privée suisse, on le sait depuis peu, est la face visible de l’Iceberg, l’écran de fumée derrière lequel se cachent les véritables acquéreurs. Des acquéreurs tapis dans la haute sphère de l’Etat et qui agissent au nom de l’Etat pour s’approprier des biens publics par personnes interposées. Les vendeurs de l’école Terminus 2 sont les mêmes qui l’ont achetée pour le compte de l’université privée suisse.

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Des travaux non officiels dans le bois des Nations Unies : Qui les a entrepris et pour quel objectif ?

Le bois des Nations Unies, sis à proximité du Complexe scolaire 11, ancien CEG 11, est en train de subir, ces derniers temps, des travaux de construction dont on ignore tout de la nature et des maîtres d’ouvrage. Epargné par tous les régimes, ce bois n’est pas, selon des sources proches du site, en train de faire l’objet d’un déclassement pour cause d’utilité publique, mais visiblement morcelé pour servir des intérêts partisans. Aucune pancarte n’indique pour le moment les travaux qui ont cours, à croire ce qui se fait est entrepris dans la clandestinité, comme ce terrain annexé, sur les 100 mètres, par un commerçant proche du pouvoir pour en faire une propriété privée alors que le site était envisagé pour un Centre de santé intégré (Csi) devant permettre de desservir toute la zone allant du nord Lazaret à Koira Tégui.

Laboukoye

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23 novembre 2016
Source : http://Nigerdiaspora.Net/

Dernière modification le dimanche, 27 novembre 2016 22:07

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