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CULTURE.

La 4ème édition de la rencontre littéraire organisée par le Centre Culturel Franco Nigérien Jean Rouch (CCFN/JR) de Niamey a pris fin, samedi 16 Avril 2016. Cette occasion a été saisie par les organisateurs pour donner un grand spectacle avec notamment une séance de lecture des textes de plusieurs auteurs nigériens par les élèves du Lycée Français et ceux de plusieurs établissements secondaires de Niamey, mais aussi et surtout par la mise en scène théâtrale des écrits de Boubou Hama par la Compagnie (Cie) Arène Théâtre. C’est le directeur du CCFN/JR de Niamey M. Jean Paul DURIN qui a présidé la cérémonie en présence de plusieurs invités.

lundi, 04 avril 2016 14:08

Renaissance culturelle

Inoussa OusseiniLa Révolution, c’est maintenant, nous avons tous foi dans la force de notre unité nationale, nous savons tous qu'elle a été le ferment de l'indépendance et de la paix civile et nous sommes tous convaincus qu'elle conditionne plus que jamais l'avenir du Niger. Face à la menace terroriste, elle s’est muée en une « union sacrée ».

Rahmatou Keita JCFALes rideaux sont tombés sur la 4ème édition des journées cinématographiques des femmes africaines (JCFA) en début de cette semaine à Ougadougou, capitale du Burkina Faso. Cette rencontre des femmes africaines œuvrant dans le cinéma est une occasion pour les professionnelles du cinéma africain de mener des réflexions en vue d’améliorer la qualité du cinéma féminin sur le continent.

Les JCFA ce sont surtout des distinctions, les trophées « Sarraounia », décernées à celles qui se sont distinguées dans le septième art africain. Au nombre des nominées de cette édition, notre compatriote Rahmatou Keita.

Boubou Hama NigerOn a un plaisir toujours renouvelé de parler de certaines grandes figures, en l’occurrence de Boubou Hama, cet homme dont le Niger a célébré le centenaire de la naissance en 2006, et le 34ème anniversaire de sa mort. C’est la toute première fois que notre pays reconnait à un de ses fils, né il y a 100 ans, son apport au pays et au monde. Près de 80 livres sont à son actif, constituant un important héritage laissé à la postériorité.

jeudi, 17 mars 2016 06:49

Diouldé Laya disciple de Boubou Hama

Dioulde LayaLe temps est le meilleur juge, a-t-on coutume de dire. Une affirmation que met en évidence l’appréciation, par la postérité, des œuvres de certains illustres disparus, à l’image de Dr Diouldé Laya, intellectuel aux multiples casquettes, décédé en 2014 à l’âge de 77 ans, et lauréat, à titre posthume, du prix Boubou Hama depuis le 10 mars 2016. Une distinction qui vient quelques mois après la tenue à Niamey, en décembre 2015, du colloque international sur les sciences humaines et sociales qui était dédié au sociologue Diouldé Laya et à deux de ses collègues, le géographe Pr Arouna Hamidou Sidikou et l’archéologue Dr Boubé Gado disparus également, pour leur contribution au développement des sciences humaines et sociales au Niger et dans la région.

Antoinette Tidjani AlouL'Université Abdou Moumouni de Niamey organise, les 10 et 11 février, un colloque international sur le Thème : «Quelle place pour l'art et l'artiste dans l'enseignement en Afrique? Formation, Création, Valorisation». Pouvez- vous nous expliquer le choix d'une telle thématique ?
Dans nos pays, l'art et l'artiste ne sont pas compris et reconnus à leur juste valeur. Pour le citoyen ordinaire, comme pour nombre de nos dirigeants, les artistes sont des bons à rien, des rigolos ou des personnes qui ont leur tête dans la lune et rien dans la poche. Ils ne sont pas perçus comme des personnes qui pensent, créent, critiquent, qui nous procurent de la joie ou la possibilité de la communion. Je ne dis rien des possibilités économiques. Or, on voit bien que dans un pays comme la France, l'art et la culture rapportent gros. En France, par exemple, la culture contribue 7 fois plus au PIB français que l'industrie automobile, avec 57,8 milliards d'euros de valeur ajoutée par an, comme me l'a fait remarquer ma collègue Catherine Martin-Payen Dicko. Cela nous donne à réfléchir...

Une cérémonie relative à la nomination de notre compatriote Sidahmed Seidnaly dit Alphadi, en qualité d’artiste de l’Unesco pour la Paix, s’est déroulée, le lundi 25 Janvier 2016, au siège de l’Unesco à Paris. C’était en présence notamment du ministre de la Culture, des Arts et Loisirs, M. Gambo Habou, des ambassadeurs du Niger à l’Unesco et en France, et de tout le gotha de la culture parisienne.

Ce titre a été décerné à Alphadi en reconnaissance, selon l’Unesco, de son engagement en faveur de la culture, du développement au service de la paix, du respect de la dignité humaine, de sa contribution à la promotion de la tolérance et de son dévouement aux idéaux de l’organisation. Cette reconnaissance, a noté Mme Irina Bokova, la directrice générale de l’Unesco, est multidimensionnelle, car la mode est un levier incontestable d’une Afrique en mouvement, d’une Afrique émergente, d’une Afrique qui gagne.

Alphadi UnescoLe créateur de mode nigérien Sidahmed Alphadi Seidnaly, dit Alphadi va bientôt être nommé Artiste de l’Unesco pour la paix par la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova. La cérémonie aura lieu au siège de l’Unesco à Paris le 25 janvier, a-t-on appris jeudi d’informations officielles.

Ce titre sera décerné à Alphadi «en reconnaissance de son engagement en faveur de la culture et du développement au service de la paix, du respect et de la dignité humaine, de sa contribution à la promotion de la tolérance, et de son dévouement aux idéaux de l’Organisation», a expliqué l’institution.


Habou GamboLe ministre de la Culture, des Arts et des Loisirs M. Habou GamboLe ministre de la Culture, des Arts et des Loisirs M. Habou Gambo a animé hier matin, un point de presse à la Cité du 18 décembre de Dosso au cours duquel, il a tenu à informer l’opinion nationale de la présence d’une équipe relevant de son département ministériel pour collecter tous les aspects culturels de la lutte traditionnelle au Niger. Cette action vise à conserver les valeurs originales de la lutte traditionnelle nigérienne.

Lecture Promotion NigerMalgré l'environnement peu favorable à la lecture, les écrivains nigériens continuent de mener le combat pour sortir la littérature de la léthargie. C'est ainsi que le 5 janvier dernier, Amadou Edouard Lampo a présenté au public son œuvre intitulée ''Kassaï, la sœur de l'empereur'' suivie de ''Camion people'', deux pièces théâtrales regroupées en un seul document paru aux éditions Harmattan et dont l'objectif est surtout pédagogique. Cette présentation s'est déroulée au Centre Culturel Américain (CCA) en présence des amateurs du livre, du personnel du CCA et des représentants du Ministère de la Culture, des Arts et Loisirs.

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