Recherche Archives Nigerdiaspora 2003-2020

 

ENVIRONNEMENT.

Criquet pelerin Niger 2016Le CILSS, de concert avec la Commission de Lutte contre le criquet pèlerin dans la région occidentale (CLCPRO) et la FAO, vient de lancer une alerte sur le criquet pèlerin dans la bande sahélienne. Cette alerte est issue des conclusions de la Concertation technique régionale sur les perspectives agricoles et alimentaires au Sahel et en Afrique de l’Ouest (PREGEC), tenue du 19 au 21 septembre 2016, à Lomé, au Togo.

Le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, M. Salifou Barmou, a présidé, hier matin au palais des congrès de Niamey, la cérémonie d’ouverture de la 6ème Session Ordinaire de la Commission Nationale de l’Eau et de l’Assainissement (CNEA). Cette session est un cadre de consultation et de concertation entre tous les acteurs concernés par la gestion des questions liées à l’eau et à l’assainissement. La cérémonie s’est déroulée en présence du ministre de l’Environnement et du Développement Durable M. Wassalké Bokaryi, celui du Domaine et de l’Habitat M. Kassoum Maman Moctar et du ministre des Villes et de la Salubrité Urbaine M. Habi Mahamadou Salissou ainsi que des membres de cette commission venus de Niamey et de l’intérieur du pays, du représentant des partenaires techniques et financiers, ceux des ONG actives dans le domaine de l’eau et de l’assainissement et de plusieurs partenaires intéressés par cette question.

Le ministre de l'Environnement et du Développement Durable, M. Wassalké Boukari et son homologue de la Mauritanie en charge de l’Environnement, M. Ahmed Camara, en visite dans notre pays, ont effectué, jeudi dernier, une visite à la Tapoa. Une occasion pour la délégation ministérielle de contempler la biodiversité fièrement conservée dans le site du Parc National W depuis plusieurs décénies. L’ambassadeur de la République Islamique de Mauritanie au Niger, les cadres du ministère en charge de l'Environnement et les autorités administratives et coutumières du département de Say ont pris part à cette visite.

L’Université Abdou Moumouni de Niamey (UAM), l’Université Catholique de Louvain (UCL) et l’Université de Liège, organisent conjointement depuis hier à Niamey, un colloque International sur la préservation et l'utilisation durable des systèmes oasiens. La cérémonie d’ouverture de ce colloque dont la thématique s’inscrit dans le cadre du Programme Inter-Universitaire Ciblé/Recherche sur l’Ensablement des Cuvettes (PIC/REC II), a été présidée par le directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, M. Abdourahamane Alou dans les locaux de l’Ecole normale supérieure (ENS).

Les feux de brousse sont devenus un phénomène récurent, constituant un véritable fléau, et un des facteurs de perte de la diversité biologique. Le gouverneur de la région de Maradi, M. Zakari Oumarou, a procédé, le mardi dernier, au lancement de la campagne régionale 2016-2017 de lutte contre les feux de brousse dans la commune rurale de Gadabéji, département de Bermo.

A travers cette campagne, des bandes pare-feux respectant les normes techniques requises seront confectionnées pour sécuriser les pâturages abondants enregistrés dans la zone pastorale contre les feux de brousse, mais aussi pour protéger notre environnement, nos populations et notre cheptel. Compte tenu des résultats probants des réalisations précédentes des bandes pare-feux, le gouvernement a mis à la disposition de la région pour les deux premières tranches, un montant de 46.300.000FCFA sur fonds propres de l’Etat pour la réalisation de 850 kilomètres.

Le ministre de l’Environnement et du Développement Durable, M. Wassalké Boukari, a effectué, le jeudi 21 Septembre dernier une mission à Sabon Yayi, village administratif dans la commune de Matankari où il a procédé au lancement des bandes pare-feux au titre de l’année 2016. Dans ce déplacement ; le ministre est accompagné des autorités administratives et coutumières de la région de Dosso ainsi que les cadres centraux, régionaux et départementaux du ministère.  

Devant une population sortie massivement pour la circonstance, le maire de Matankari s’est réjoui du choix de Sabon Yayi pour le lancement de la campagne nationale de lutte contre les feux de brousse ; édition 2016. Car selon lui, les retombées économiques sont énormes pour les populations. Le Secrétaire général de la préfecture de Dogondoutchi a pour sa part souligné qu’au-delà de la sauvegarde du pâturage pour les animaux ; la réalisation des bandes pare-feux va limiter voire même stopper les feux de brousse synonymes de dégâts matériels et humains importants.

Organiser la présence du secteur privé africain à la COP22, est l’un des objectifs que vise Hub Africa, à la COP22 qu’a accueilli la ville de Marrakech au Maroc du 7 au 18 novembre dernier. Hub Africa est une plateforme offrant aux visiteurs et participants la possibilité de bénéficier de l’expertise et des conseils d’experts et d’opérateurs économiques africains et internationaux.

Wassalke Boukary RLa communauté internationale célèbre, aujourd’hui 16 septembre, la journée internationale de la protection de la couche d’ozone.

A l’occasion de la célébration de cette journée dont l’édition est placée sous le thème ‘’Ozone et climat: restitués par un monde uni’’, le ministre de l’Environnement et du Développement Durable, M. Wassalké Boukari, a prononcé un message où il a souligné que les décideurs et les acteurs de la société civile, ainsi que la communauté des scientifiques, reconnaissent l’existence d’interactions entre la couche d’ozone dans l’espace, la santé des hommes et les variabilités climatiques.

Il est admis, a-t-il dit, que la couche d’ozone est un bouclier protecteur naturel contre les rayons ultra violets du soleil qui, eux, ont des répercussions négatives sur la santé. Les rayons UV diminuent en effet le système de défense, favorisent les cancers de la peau et les maladies des yeux et provoquent la baisse de productivité des sols.

Or, il est également admis que la couche d’ozone est menacée du fait essentiellement des actions de l’Homme, notamment à travers la production de gaz chimiques nocifs. Il y a donc un défi environnemental qui a poussé la communauté internationale à adopter la convention de Vienne en 1885 et le protocole de Montréal deux ans plus tard. Notre pays, qui est un Etat partie du protocole, a initié et mis en œuvre un plan de gestion et d’élimination des gaz nocifs sur la couche d’ozone, a dit le ministre de l’Environnement.

Ces initiatives vont de la sensibilisation et l’information du public sur les gaz nocifs, à la formation et la dotation en kits des frigoristes et des électromécaniciens, en passant par le remplacement des gaz frigorigènes nocifs par d’autres substances moins nocives, la formation des techniciens en froid et des agents des Douanes pour le contrôle, la surveillance et l’introduction des cours sur la protection de la couche d’ozone dans les établissements de formation.

En outre, le Niger s’est engagé à accélérer l’élimination des gaz nocifs des systèmes de climatisation et de chambres froides. Affirmant que toutes ces mesures visent à sauvegarder le climat, le ministre Wassalké Boukari a ajouté que la mise en œuvre des engagements sur la convention de Vienne relativement à la protection de la couche d’ozone et l’accord de Paris sur le climat doivent constituer ‘’une priorité absolue dans le cadre de la feuille de route de notre contribution nationale prévue et déterminée’’.

Le ministre a exhorté les Nigériens à une prise de conscience citoyenne et à un changement de comportement pour, dit-il, ‘’adopter les bonnes pratiques qui préservent notre environnement des actions nocives sur la couche d’ozone et les changements climatiques’’.

M. Wassalké Boukari a expliqué que par des ‘’gestes simples menés au quotidien par chacun de nous, nous formerons une chaine unie capable de protéger la couche d’ozone et d’avoir un impact significatif sur les changements climatiques’’.

Zabeirou Moussa(onep)

Cop 22 Prepa MarocL’heure n’est plus aux débats entre les climato sceptiques ou climato pessimistes. Le réchauffement climatique et le changement climatique sont une réalité que les Africains vivent au quotidien. La rareté de l’eau, la récurrence des sécheresses, les inondations, et ces hausses insupportables de température, qui affectent les paysans et les populations des villes et villages sont les conséquences tangibles du changement climatique. Et, le Continent Africain est l’un des plus touchés par le changement climatique. Si rien n’est fait, l’Afrique ne pourra subvenir qu’à 13% de ses besoins alimentaires d’ici à 2050, alertent les spécialistes. Alors qu’il ne représente que 3% des émissions de gaz à effet de serre, le Continent Africain n’a reçu jusque-là que 4% des financements liés au climat. Il urge donc d’agir pour sauver ce qui peut l’être.

Cop 21 Niger 01Image d'illustration Le Gouvernement nigérien a adopté, lors du conseil des ministres ordinaires du mercredi 7 septembre 2016, un projet d’ordonnance portant ratification de l’accord sur le Climat conclu à l’issue de la 21ème Conférence des Parties à la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, tenue du 29 novembre au 11 décembre 2015 à Paris (France). «L’Accord, objet de la présente ordonnance constitue une riposte efficace et progressive de la Communauté Internationale face à la menace pressante des changements climatiques dans le contexte du développement durable et de la lutte contre la pauvreté.

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