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IDEES & OPINIONS.
La souveraineté économique et monétaire africaine comme solution aux maux de sous développement des pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) et de la Communauté Economique, Monétaire de l’Afrique Centrale(CEMAC)et des Iles Com.
La souveraineté économique et monétaire africaine comme solution aux maux de sous développement des pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) et de la Communauté Economique, Monétaire de l’Afrique Centrale(CEMAC) et des Iles Comores
«Si réellement l’égalité intellectuelle est tangible, l’Afrique devrait, sur des termes controversés, être capable d’accéder à la vérité par sa propre investigation intellectuelle, se maintenir à cette vérité jusqu’à ce que l’humanité sache, que l’Afrique ne sera plus frustrée, que les idéologues perdront leur temps, parce que ils ont rencontré des intelligences égales qui peuvent leur tenir tête sur le plan de la recherche de la vérité[1]».
Tout a changé, en bien ou en mal, depuis 1990, sauf la façon de faire la politique
Pauvre Niger, pays où tout a changé, en bien ou en mal, depuis 1990, sauf la façon de faire la politique. Que penser de la sortie médiatique du Ministre d'État Bazoum, mettant dans le même sac société civile et opposition, sinon que Hama Amadou a fait école chez ses anciens amis et alliés, devenus aujourd'hui ses plus grands ennemis ? En écoutant le Ministre Bazoum dans ses efforts de préparation de l'opinion à la marche de la MRN du 8 janvier, comment ne pas se souvenir de l'ancien Premier ministre Hama Amadou haranguant la foule de ses partisans et les invitant à se mobiliser pour une marche gigantesque contre la société civile, coupable d'avoir organisé, un jour de mars 2005, une manifestation monstre à Niamey contre la cherté de la vie consécutive à la taxation des denrées de base ?
Lettre à mes compatriotes : Les manifestations du 7 et du 8 janvier prochain seront un ÉCHEC, le peuple nigérien n’étant pas aussi dupe pour célébrer ceux qui sont à la base de ses malheurs.
Il semble que le 7 et le 8 janvier 2017, comme en hommage aux évènements de Charlie Hebdo, des compatriotes projetteraient d’organiser, sur toute l’étendue du territoire national, une marche suivie de meeting et qu’ils auraient choisi comme slogan de mobilisation « Mahamadou Issoufou n’est pas seul ». La trouvaille d’un « génie des Carpates » qui ne voit plus loin que le bout de son nez. Mahamadou Issoufou n’est pas seul… responsable des malheurs du Niger, c’est sûr et personne ne lui disputera cette vérité. Que ce soit à propos du désastre financier et économique ou sur le plan sécuritaire, social, judiciaire ou démocratique, l’homme a bien raison de plaider la culpabilité partagée. « Oui, je suis coupable, mais je ne suis pas seul », semble dire Mahamadou Issoufou et il a parfaitement raison dans la mesure où, pas plus tard qu’il y a cinq mois, Seïni Oumarou lui a fait allégeance, moyennant un strapontin de 500 millions de francs CFA contre son silence complice dans la prédation des ressources publiques.
Fermeture du complexe scolaire Bédir : Le coup de gueule du Canard en furie
Où se trouve finalement cette bonne dame qui, sans honte, n’a eu aucun scrupule à clamer, avec documents à l’appui, que le complexe scolaire Bédir lui a échu au nom de l’excellent partenariat qu’elle, en qualité de ministre des Enseignements primaires, a noué et entretenu avec les promoteurs dudit complexe ; qu’il n’y a pas de quoi fouetter un chat dans cette scabreuse affaire et que, comble de culot, elle allait porter l’affaire devant la justice pour se voir laver d’un affront…qui lui colle visiblement bien à la peau. La récente décision de retrait de l’autorisation d’exercice à ce complexe scolaire est un cinglant désaveu qui cache mal la forfaiture commise par Dame Mariama El Hadj Ibrahim et Cie.
Amères vérités
Le Niger vit ce mauvais cinéma depuis six longues années. Un film monotone, triste et ubuesque dont le réalisateur, le metteur en scène, tout autant que les acteurs, médiocres et faux, savent parfaitement que leurs noms riment avec échec, désastre et désespoir pour le Niger mais qui s’accrochent avec force argent, espérant sauver ce qui est … déjà perdu. Ainsi, pour inaugurer cette nouvelle année qui commence et dont les Nigériens espèrent beaucoup, Mahamadou Issoufou et ses camarades n’ont rien trouvé de mieux à initier qu’une marche de soutien à leur régime. Une manifestation qui sera sans doute un échec retentissant.
Lettre ouverte aux Nigériennes et aux Nigériens
Sakiratou Issaka Issoufou, fille aînée du coordonnateur régional Lumana de Tillabéri, Issoufou Issaka, a décidé de rompre le silence pour dénoncer avec virulence la détention arbitraire prolongée dont son père et ses camarades politiques sont victimes depuis un an aujourd’hui. L’étudiante, qui suit une formation à l’Institut des Hautes Etudes Commerciales de Rabat (Maroc), n’est pas allée du dos de la cuillère pour exprimer son dégoût vis à vis du régime Issoufou, qui est loin d’être démocratique, dans cette lettre ouverte adressée aux Nigériennes et aux Nigériens. Un véritable réquisitoire contre le système en place.
Il faut le dire…
Le 21 décembre 2016, alors que le pouvoir issu du coup d’Etat électoral des 21 février et 20 mars 2016 a fait le pari que les Nigériens ne suivront pas le mot d’ordre de la société civile active, les citoyens nigériens sont massivement sortis pour dire NON à Mahamadou Issoufou et à sa façon de conduire le pays. Une mobilisation qui a fait trembler dans les rangs du pouvoir au point où, selon des informations qui circulent déjà dans certains milieux, des mesures administratives et policières seront prises pour empêcher le rendez-vous du 13 janvier prochain, date retenue par le mouvement Tayi Tawri pour manifester à nouveau.
Lettre à mes compatriotes : Je souhaite, en 2017, que tous ceux qui ont pris l’argent et les biens de l’État soient arrêtés et traduits devant la Justice et qu’ils paient au prix fort leurs forfaitures.
Dans quelques jours, 2016 fera ses adieux. Une année noire ! Une année noire comme notre pays n’en a jamais connue dans son histoire, avec son cortège de malheurs et de misères individuels et collectifs. Une année noire au cours de laquelle Un Cfeb [Ndlr : Commission du fichier électoral biométrique] répondant aux ordres de Hassoumi Massoudou, avec à sa tête un certain Mallam Oumarou, un militant notoire du Pnds Tareyya, secondé par Sabiou Gaya, a confectionné le fichier électoral le plus grossier que le Niger ait connu.
Le coup de gueule du Canard en furie
Je ne comprends pas une chose. Je ne comprends pas qu’il y ait eu un coup d’État électoral dans ce pays ; que les libertés publiques soient confisquées ; que le régime de Niamey, répressif à volonté, soit un des rares, dans toute l’Afrique, à avoir dans ses geôles, des prisonniers politiques ; que le Niger ait été pointé du doigt dans divers trafics, y compris de la drogue dure (cocaïne) et que des proches de Mahamadou Issoufou y soient mêlés ; que la gouvernance mafieuse qui a cours à Niamey ait entraîné le Niger dans de graves contentieux judiciaires, mais que le premier responsable, Mahamadou Issoufou, soit des mieux traités dans Jeune Afrique et RFI.
Amères vérités
Il y a, paraît-il, 13 centrales syndicales au Niger parmi lesquelles vous avez la doyenne USTN et sa fille adultérine CDTN. De ces 13 centrales syndicales, aucune d’elle n’a encore senti la nécessité de faire la moindre déclaration de routine pour soutenir la lutte des syndicats de l’Éducation, de celui des collectivités territoriales ainsi que des associations et des structures de la société civile engagés dans la sauvegarde de l’école publique, considérablement clochardisée pour accumulation d’arriérés de pécules, la restauration de la démocratie dans ses principes cardinaux, l’égalité des Nigériens devant la loi, les détournements de deniers et biens publics dont les auteurs, notablement connus, sont protégés au sommet de l’État, les trafics de devises et de drogue, la corruption généralisée qui est en train de pourrir tout le tissu social, etc.
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Hymne à Nigerdiaspora : Par Dr Abdoulaye HASSANE DIALLO
Comme j’ai souvent abordé des rubriques que j’ai consacrées à divers domaines, je dédie cette contribution à Nigerdaspora.
Aujourd’hui je consacre ma pensée à NIGERDIASPORA, ce site qui a soufflé déjà ses 10 bougies il y a deux ans . Ce site dont nous tirons chaque semaine des informations et des nouvelles sur notre pays, nos états, et notre Continent. Nous lisons et écrivons dans ce chassé-croisé ou chacun thème trouve sa place dans un monde en perpétuel mouvement. Nigerdiaspora, connu de tous les internautes , cet arbre à palabres est un carrefour des idées, d’échanges, de débats , de contradictions de complémentarité.
Mérite : La plume et le micro
Disons que la charité bien ordonnée devrait commencer par soit même Mais, dans cette famille de la presse , reconnaissons que l’on se bat toujours pour les autres, pour la vérité, pour la promotion de la Démocratie, contre l’injustice . Depuis la nuit des temps . Un journaliste qu’il se place derrière un pupitre, à l’antenne, avec un micro ou une plume, est toujours un soldat sur le « pied de guerre »Un éternel combattant.
En temps de guerre
Le journaliste devance toujours les combattants sur le théâtre des opérations, à la cherche, à l’affut de la moindre information. La Nation, la Patrie, le pays importe beaucoup plus pour lui . Son métier avec tous les risques , ne représente pas grand chose comparé à la vie des autres qu’il entend sauver et protéger au risque de se jeter dans « la gueule du loup » pour accomplir sa périlleuse mission. Cette espèce de race n’a ni peur , n’est ni faible, ni ingrate. Elle donne ce qu’elle a de meilleur pour sauver l’homme et l’aider à être à l’abri du danger, parfois de la mort . Le journaliste prend sur lui tous les dangers et les risques.
A son Excellence Monsieur le Ministre de la Renaissance Culturelle, Arts, et la Modernisation Socia

Superviseur national et garant de notre identité cultuelle,
Monsieur le Ministre, c’est avec enthousiasme avec vivacité d’esprit et de nostalgie que je tiens par ces lignes partager un acquis, auquel je garde en mémoire la souffrance d’un peuple qui se fut battu pour se donner une identité nonobstant la raillerie de l’occident qui avait voulu nous faire ingurgiter, à l’œil et à l’ouïe que nous ne l’avions pas et même si nous l’avions celle-ci est loin d’être au même diapason de la sienne. Contre vents et marées nos alleux laissèrent leurs empruntes dans la détermination comme dans le dévouement pour nous transmettre cet héritage durement sauvegardé et fièrement cultivé pour que vous soyez aujourd’hui à la tête d’un ministère, qui, au-delà de ce qu’il représente, donne une signification et une forme à ce qu’est un nigérien tout court. En effet, j’ai accueilli lors du dernier remaniement votre promotion à la tête du ministère de la Renaissance Culturelle , Arts et Modernisation Sociale car à mon avis, vous êtes un bon choix pour occuper ce poste au regard de ce que vous aviez su entreprendre dans le cadre de la promotion d’une culture digne et d’une modernisation sociale à la hauteur des prémisses d’un idéal culturel à léguer et pour lequel les nouvelles générations auront de quoi s’enorgueillir. Parce que tout simplement votre parcours professionnel en général et dans le domaine culturel, syndical en particulier, constituant un exemple éloquent.
Amères vérités
Mahamadou Issoufou est sans aucun doute un cas d’école. Pour se maintenir au pouvoir, il a orchestré un coup d’Etat électoral, avec une CENI assujettie et corvéable à merci, mais ne trouve aucune gêne à parler de déficit démocratique en ce qui concerne d’autres pays. Yahya Jammeh ? Il était des chefs d’Etat réunis à Abuja, le samedi dernier, pour décider de ce qu’il y a lieu de faire face à cette usurpation de pouvoir en Gambie. Ah, que l’Afrique peut être drôle ! Mahamadou Issoufou a des prisonniers politiques, civils et militaires, mais il n’a aucun scrupule à parler de libertés et de justice.
Lettre à mes compatriotes : Avez-vous lu « Le vieux nègre et la médaille » ?
Je vous surprendrais peut-être en commençant ma lettre de cette semaine, non pas par le discours irréaliste de Mahamadou Issoufou, au soir du 17 décembre, mais par son séjour à Bruxelles. Ce séjour a fait sur moi l’effet d’un déjà vu ou plutôt d’un déjà connu et j’ai dû sonder, longtemps, les profondeurs de ma mémoire, avant de trouver mes repères. L’explication se trouve dans une de mes vieilles lectures de lycée.
Lettre à mes compatriotes : Tayi Tawri et Mahamadou Issoufou est sans aucun doute le premier à le savoir, à le vivre et à en redouter les conséquences
Le vendredi 9 décembre dernier, le Conseil des 43 ministres issus du hold-up électoral du 20 mars 2016 s’est tenu autour de Mahamadou Issoufou et a accouché, entre autres mesures, d’un communiqué libellé ainsi qu’il suit : « Une erreur malencontreuse s’est glissée dans le communiqué du Conseil des ministres du jeudi 1er décembre 2016, au niveau de la communication du ministre de l’Action humanitaire et de la gestion des catastrophes relative à l’activation du mécanisme de réponse immédiate (MRI) par le gouvernement. Une erreur !
Pouvoir et alternance : Si j’étais Adama BARROW
Je n’ai aucunement la prétention de dispenser ici un cours de morale ou de critiquer telle ou telle autre réaction . Pas du tout et très loin de moi cette idée . C’est tout simplement parce que , face à un sujet d’intérêt commun, chacun y va de sa logique. C’est au nom de ce principe, de ce débat public que je pense aussi pouvoir m’inviter en apportant une contribution dans ce qui est devenu en quelque sorte une préoccupation de tous,( actualité oblige) en Afrique comme ailleurs .
Amères vérités : Issoufou Mahamadou a-t-il le moindre respect pour ses compatriotes ?
Un journal de la Place l’a dit et vous pouvez le croire : Mahamadou Issoufou, est le principal obstacle à la lutte contre la corruption et les infractions assimilées et par conséquent l’incubateur des pratiques antirépublicaines, le gourou protecteur des délinquants et trafiquants. C’est reconnu et attesté par des faits et personne, y compris au niveau des partenaires extérieurs du Niger, ne peut soutenir le contraire. A l’exception, bien sûr, de ceux qui portent constamment les œillères de la mauvaise foi, en proie à cette tragique maladie que les médecins appellent schizophrénie et qui déconnecte complètement ses victimes de la réalité. Mahamadou Issoufou, pour ainsi dire, n’a aucun respect pour ses compatriotes. Trois faits l’attestent.
Lettre à mes compatriotes : Qui, des douaniers et des dirigeants de l’État, travaillent véritablement pour eux-mêmes ?
Image d'illustrationJ’ai écouté parler deux porte-voix du pouvoir issu du hold-up électoral des 21 février et 20 mars 2016 à propos de deux évènements sociopolitiques ayant marqué la semaine du 1er au 5 décembre dernier et j’ai eu la confirmation que l’on ne peut pas tresser sur des poux et espérer travailler à son aise. Le ver est dans le fruit comme on dit, et le premier évènement, en l’occurrence le limogeage du directeur général des Douanes, Issaka Assoumane, puis son remplacement par un officier supérieur des Forces armées nationales, le Général Amadou Halilou, porte les stigmates d’une crise insidieuse qui mine le Pnds Tareyya.
Amères vérités : Enfin, les Nigériens se réveillent peut-être !
La nuit a beau duré, le jour finit par poindre, dit-on. Or le Niger, tout le monde l’admet aujourd’hui, est dans une nuit noire, du noir porteur de toutes les peurs, de toutes les angoisses et de toutes les interrogations. Mahamadou Issoufou, qui est le nombril de ce pouvoir morbide, sait mieux que quiconque que « TAYI TAWRI » et qu’il n’y a aucune magie possible pour son pouvoir de se remettre en selle. Un pouvoir qui navigue à vue, complètement englué dans son labyrinthe de falsifications, de leurres, de duplicités et d’artifices. Un pouvoir issu d’un hold-up électoral qui se sait impopulaire et vomi du peuple, mais qui fait dans le forcing.