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INTERVIEW.
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Entretien avec M. Seini Oumarou, candidat du MNSD-Nassara, à l’élection présidentielle premier tour du 21 février 2016 : «Les conditions de vie des Nigériens demandent à être améliorées aujourd’hui, nous allons le faire à travers ce programme de déve
Monsieur Seini Oumarou vous êtes candidat à l’élection présidentielle du 21 février 2016. Sur quel programme entendez-vous convaincre les électeurs et électrices nigériens pour qu’ils vous accordent leurs suffrages?
Le MNSD Nassara a un programme qu’il a déjà exécuté pendant 10 ans quand il a eu à gérer le pays. Nous n’avons aucune intention de changer fondamentalement ce programme. Nous allons tout simplement l’améliorer parce que les 10 ans pendant lesquels le MNSD Nassara a eu à diriger ce pays, des effets positifs ont été enregistrés pour l’ensemble des populations. C’est une des raisons pour laquelle nous n’entendons pas changer de programme.
Entretien avec Monsieur Issoufou Mahamadou, candidat du PNDS Tarayya à l’élection présidentielle premier tour du 21 février 2016 : «J’ai un bilan, je pense avoir tenu mes promesses et j’ai aussi un autre programme pour tracer l’avenir de notre pays»
Monsieur Issoufou Mahamadou, bonjour. Vous êtes candidat à l’élection présidentielle, premier tour du 21 février 2016. Avec quel programme entendez-vous convaincre les électrices et les électeurs nigériens pour qu’ils vous accordent leurs suffrages ?
Je vous remercie. Avant de répondre à votre question, je dois rappeler que je suis effectivement candidat à l’élection présidentielle avec le soutien d’une quarantaine de partis politiques. Notre camp a pu réussir un accord dès le 1er tour. Nous n’avons pas attendu le second tour comme cela se fait d’habitude au Niger pour conclure un accord. C’est un élément important qui est un atout pour les prochaines élections.
Entretien avec Monsieur Abdou Labo, candidat à l'élection présidentielle 1er tour du 21 février 2016 : «Le programme sur lequel je compte m'appuyer pour gouverner ou gérer ce pays (...) est intitulé ''Mon ambition pour le Niger''»
Monsieur Abdou Labo, bonjour. Vous êtes candidat à l'élection présidentielle, premier tour du 21 février 2016. M. Labo, avec quel programme entendez-vous convaincre les électrices et les électeurs nigériens pour qu'ils vous accordent leurs suffrages ?
Merci, je voudrai profiter de cette opportunité que m'offre le CSC, et l'ORTN, de m'adresser aux nigériennes et nigériens pour leur présenter le programme sur lequel je compte m'appuyer pour gouverner ou gérer ce pays, si jamais ils m'assuraient leur confiance. Ce programme est tout simplement intitulé « Mon ambition pour le Niger ». Et il se décline en dix objectifs majeurs.
Entretien avec le président du Conseil Supérieur de la Communication (CSC), M. Abdourahamane Ousmane : ‘’Au niveau du CSC, nous avons pris les dispositions nécessaires pour contribuer à l’organisation d’élections libres, honnêtes et transparentes, da
Le Niger est entré de plain-pied dans le processus électoral devant parachever le 1er quinquennat de la 7ème République. Quelles sont les dispositions prises par le CSC pour la contribution des médias nigériens à des campagnes électorales et des scrutins apaisés?
Au niveau du Conseil Supérieur de la Communication, depuis plusieurs mois, nous avons élaboré un programme électoral dont l’objectif global est de contribuer à l’organisation d’élections libres, honnêtes et transparentes, dans un climat politique et social apaisé.
Ce programme est bâti autour de cinq axes majeurs à savoir: le cadre législatif et réglementaire; le renforcement des capacités des journalistes et du CSC; la production, la programmation et la diffusion des messages de campagne; le monitoring des médias et la sensibilisation des acteurs électoraux. Ce programme a été décliné en vingt-trois (23) activités. Il serait fastidieux de les énumérer toutes. Mais plusieurs activités ont déjà été menées.
Interview de M. Taher Hassane, secrétaire général du Ministère de l'Economie et des Finances (MEF) : «Le Ministère de l'Economie et des Finances étant l'acteur principal de l'élaboration et de l'exécution du budget de l'Etat (...)
Monsieur le Secrétaire Général, on a toujours dit que le volet Communication constitue un des maillons faibles de votre département ministériel. Face à cette situation, vous avez voulu innover en dressant un plan de communication sur certains sujets d'importance. Qu'est-ce qui justifie cette nouvelle démarche entreprise par le Ministère ?
Permettez-moi tout d'abord de vous remercier de l'occasion que vous m'offrez pour parler des missions dévolues à notre département ministériel. Je profite de l'occasion pour souhaiter à vos lecteurs une bonne et heureuse 2016. Qu'elle soit pour notre pays une année de paix, de sécurité et de grande mobilisation des ressources pour le financement de nos programmes d'investissements structurants, créateurs de richesses et d'emplois.
M. Boubé Ibrahim, président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) : «Globalement, nous sommes techniquement prêts car nous déroulons, jusqu'ici, nos activités conformément au chronogramme adopté par la CENI»
M. Boubé Ibrahim, président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI)Monsieur le président, la CENI est en activité depuis des mois. Quel bilan pouvez-vous faire sur ces activités ?
En termes de bilan, je peux dire que celui-ci est globalement positif pour la bonne et simple raison que, de manière générale, les activités, que nous avons menées jusqu'ici, ont respecté le chronogramme adopté par la CENI. Pour prendre un exemple qui cadre avec l'actualité, à savoir la distribution des cartes d'électeur, celle-ci a effectivement démarré comme prévu le 21 janvier. C'est une étape importante du processus électoral. En outre, nous sommes sur le point de procéder à la nomination des responsables des commissions décentralisées de la CENI. De même, l'impression des bulletins et autres documents électoraux est en voie de lancement.
Vous savez aussi que nous avons procédé à l'inventaire physique du matériel électoral et assuré une série de formations de renforcement des capacités des membres de la CENI et de différents acteurs électoraux. Nous sommes par ailleurs sur le point de lancer notre campagne de sensibilisation et d'information et nous sommes en train de mettre en place les conditions pour un bon colisage et une bonne mise en place du matériel électoral à l'échelle du pays.
Invité/M. Elhadji Idi Ibrahim, Préfet du département de Gazaoua (région de Maradi) : ‘’Nous avons un important potentiel en matière de cultures de contre saison, et nous souhaitons l’aménagement de la vallée de Gangara’’
Le département de Gazaoua est l’un des derniers nés qui résultent de la transformation des postes administratifs en département en août 2011. Situé à 100km au sud-est du chef-lieu de la région (Maradi), le département de Gazaoua est limité au nord par les départements de Tessaoua et d’Aguié, au sud par la République Fédérale du Nigeria (avec 70 km de frontière), à l’est par le département de Tessaoua, et à l’ouest par celui d’Aguié. Avec une superficie de 903 km2, le département de Gazaoua a une population de 160.490 habitants, composée essentiellement de Haoussas et des Peulhs.
M. Elhadji Idi Ibrahim, préfet du département de Gazaoua (région de Maradi) : ''Nous avons un important potentiel en matière de cultures de contre saison, et nous souhaitons l'aménagement de la vallée de Gangara''
M. Elhadji Idi IbrahimLe département de Gazaoua est l'un des derniers nés qui résultent de la transformation des postes administratifs en département en août 2011. Situé à 100km au sud-est du chef-lieu de la région (Maradi), le département de Gazaoua est limité au nord par les départements de Tessaoua et d'Aguié, au sud par la République Fédérale du Nigeria (avec 70 km de frontière), à l'est par le département de Tessaoua, et à l'ouest par celui d'Aguié.
Maradi/Entretien avec M. Moussa Dan Tanni, Préfet du département de Mayahi : «Les voies de communication manquent cruellement et cela constitue une source de problème pour la santé des populations et un frein pour le développement du département»
Situé dans la partie nord-est de la région de Maradi, le département de Mayahi couvre une superficie de 6952 km2 avec une population estimée à 602.377 habitants. Sa population est composée à la fois d’agriculteurs, d’éleveurs et de commerçants. Cette population cosmopolite est constituée notamment de Haoussa, de Peulhs et de Touaregs auxquels s’ajoutent d’autres populations non autochtones bien intégrées venues des autres régions du Niger. Mayahi fait frontière avec les départements de Dakoro, de Tanout, de Tessaoua et d’Aguié.
Invité : M. Abdoulkarim Dan Malam, ministre de la Jeunesse et des Sports
Monsieur le ministre, la 37ème édition du Sabre National se tiendra cette année à Dosso. Est-ce qu’on peut dire, à la date d’aujourd’hui, que tout est fin prêt pour l’ouverture de cette cérémonie ?
Merci pour l’intérêt que vous accordez à cet événement si important de la vie de la Nation. Merci aussi pour l’occasion que vous me donnez pour m’exprimer sur l’organisation de cette 37ème édition du Sabre National de Lutte Traditionnelle.
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Interview du préfet de Guidan Roumdji, M. Assoumane Sahabi : "Nous avons bénéficié d'importants investissements ayant contribué à l'amélioration du cadre de vie des populations"
Le département de Guidan Roumdji se situe à l'ouest de la ville de Maradi. Il est limité au nord par le département de Madarounfa, à l'ouest par le département de Madaoua, au Sud-Est par le département de Madarounfa, à l'Est par le département d'Aguié, au Sud par le Nigéria, au nord-est par le département de Mayahi. Le département de Guidan Roumdji est composé de cinq (5) communes et cinq (5) cantons et un groupement peulh. Les activités principales sont l'agriculture et l'élevage. Concernant l'agriculture, il comprend l'agriculture pluviale et la culture irriguée qui est pratiquée tout au long du Goulbi durant toute l'année. Ce qui a permis aux populations de lutter contre la sécurité alimentaire nutritionnelle et éventuellement contribuer aux œuvres de construction nationale. La population est essentiellement composée de haoussas, de peulhs et de touaregs.
Interview de M. Paté Balla, président du Conseil Régional de Maradi : « Les populations de Maradi expriment leur totale satisfaction et leur gratitude pour toutes ces infrastructures mises en place au bénéfice de leur Région »
Monsieur le président, la Région de Maradi accueille l'édition 2015 de la fête tournante du 18 décembre. Quels sont les sentiments qui vous animent en tant que président du Conseil de la région?
C'est réellement une immense joie qui m'anime en cette grande circonstance qu'est la célébration de la fête tournante de 18 décembre à Maradi. Joie d'abord, parce que notre chef-lieu de Région s'est métamorphosé à cause des importants investissements consentis par les autorités de la 7ème République pour rénover Maradi et créer d'importantes infrastructures sociales, culturelles, administratives et d'accueil en cette occasion.
Interview de Oumarou Lawali dit Gago, président du Syndicat régional des commerçants de Maradi : « Le marché central moderne va assurément créer les conditions d’un nouvel essor de l’activité commerciale à Maradi »
Monsieur le président, le commerce est la première vocation des habitants de la ville de Maradi. Comment se porte cette activité?
Je dirais d'abord que c'est là une bonne opportunité que vous m'offrez, en cette occasion de la fête tournante du 18 décembre qu'accueille la Communauté urbaine de Maradi, de dire de vive voix à mon nom, et au nom de tous les commerçants et autres opérateurs économiques, de la région, notre joie, notre gratitude au Président de la République, M. Issoufou Mahamadou et à son Gouvernement pour les importants investissements consentis dans la Région de Maradi. Ce marché moderne va assurément créer les conditions d'un nouvel essor de l'activité commerciale, qui se porte déjà bien à Maradi.
A propos de l’IDH au Niger : nous vivons le « comble de l’athéisme » selon le Professeur Nasser Ary Tanimoune
Professeur Nasser Ary Tanimoune Nigerdiaspora : Professeur Ary Tanimoune, l’Indice de Développement Humain (2014) pour le Niger est connu depuis lundi 14 décembre. On retrouve des résultats similaires à ceux de l’année dernière…
Professeur Nasser Ary Tanimoune : En effet ! Et, il est tout autant sympa de retrouver, chaque année et à peu près au même moment, le mélodrame nigérien sur le classement mondial du pays par rapport à l’Indice de Développement Humain. Ce serait juste un n-ième mélodrame, si cette année la discussion n’intervenait pas à la veille des élections.
M. Maidagi Allambèye, ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture : ‘’Les principaux engagements pris par les Etats sont en parfaite harmonie avec ceux pris par les autres acteurs de la mise en œuvre de l’ECOWAP’’
Monsieur le ministre d’Etat, du 17 au 19 novembre dernier, vous avez pris part, à Dakar, à la Conférence internationale sur l’Agriculture ouest-africaine. Cette rencontre a notamment adopté le Pacte régional de partenariat pour la mise en œuvre de l’ECOWAP/PPDAA 2025. Quel est le contexte global qui se présente actuellement dans le secteur de l’Agriculture en Afrique de l’Ouest ?
Invité : Dr Yacouba Halidou, enseignant-chercheur au département Philosophie de l’Université Abdou Moumouni Dioffo de Niamey
A travers la tenue du colloque international sur les Sciences Humaines et Sociales, qui s’est tenu à Niamey du 1er au 3 décembre derniers à l’initiative de l’Institut de Recherche en Sciences Humaines (IRSH), vous rendez un hommage à trois éminents chercheurs rappelés à Dieu l’année dernière et au courant de cette année. Quels sentiments cela suscite en vous?
Entretien avec Docteur Seyni Moumouni Directeur de l’IRSH : ‘’Les pionniers de la recherche en SHS nous ont laissé un patrimoine inestimable qu’il faudra préserver et valoriser pour les générations futures’’
Dr Seyni Moumouni, l’Institut de Recherche en Sciences Humaines (IRSH) que vous dirigez organise un colloque international du 1er au 3 décembre 2015, et qui sera l’occasion de rendre hommage à trois chercheurs nigériens disparus récemment. Quelle est la contribution de ces illustres disparus dans le domaine sciences humaines et sociales ?
Invité : Mahamadou Issoufou, président du Niger (Vidéo)
INTERNATIONALES, l'émission TV5MONDE - RFI - Le Monde, reçoit le président du Niger, Mahamadou Issoufou, à la veille du sommet des chefs d’Etat de la COP21 auquel il participe.
Invité : M. Marou Amadou, ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Porte-Parole du gouvernement
Monsieur le ministre, est-il juste de dire que le secteur de la Justice est en quelque sorte la pierre angulaire de l’axe 1 du Programme de Renaissance du Niger portant sur la promotion de la bonne gouvernance.
Effectivement, comme vous l’avez noté, le secteur de la Justice et des droits humains secteur participe beaucoup de la mise en œuvre de l’Axe 1 du Programme de Renaissance, celui de bâtir des institutions démocratiques, fortes, crédibles et durables. En effet, l’un des objectifs de cet axe est d’assurer un accès équitable à la justice et promouvoir les droits humains.
Entretien avec Maitre Souleye Oumarou, Président du MDC Yarda
Le Monde d’Aujourd’hui : Bonjour Maître et merci d’avoir accepté cette interview et merci de nous recevoir dans votre bureau pour parler Politique. Nous sommes dans un contexte sociopolitique assez riche en évènements de toutes sortes. Alors, quelle analyse faites-vous de la situation sociopolitique du Niger en ces moments précis ?